La musique au pied du mur

Si l’art peut prétendre se jouer des frontières, pour certaines populations dans le monde, leur franchissement est une épreuve difficile, voire tragique. C’est ce à quoi Alain Harster, spectateur fidèle de Musica, a souhaité nous sensibiliser, lui qui depuis une vingtaine d’années a choisi d’agir pour la justice et la paix en Palestine. Il nous guide de l’autre côté du mur, vers un endroit qu’il connaît bien, le camp de réfugiés d’Aida à Bethléem. Ici, la jeunesse fait preuve d’une résilience hors du commun, à l’image des membres du groupe In’Ekass et des danseur·se·s de dabkeh de l’association Alrowwad. Invités à Strasbourg, treize jeunes partagent leur vision de la « belle résistance », artistique, culturelle et non violente.

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Danseurs d’Alrowwad
Mais B. S. Rumi
Nouraldin M. A. Najjar
Jafar M. A. Qaraqe
Rand Abdalaziz Alafandi
Merna Amer Yousef Alsarabtta
Ayat Nabil Mahmoud Rumi
Motasem Abdrabbou Mahmoud Abusheera
Almotazbellah M. M. Zboon

In'ekass
Ansam Saeed Mohammad Alazzeh
Dania M. M. Aljawabrah
Liar J. J. Ikhlayel
Yumna M. O. Awaara
Ruwaida A. M. Alazza
Karam Al Zouhir | remplacement clavier
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Avant le festival, les cinq jeunes femmes du groupe In’Ekass sont accueillies par Rodolphe Burger dans son studio à Sainte-Marie-aux-Mines. Les huit danseurs et danseuses proposeront des rencontres d’initiation au dabkeh en partenariat avec POLE-SUD (plus d'informations prochainement).

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durée : 2h30